La vie de Leti-diable (nanonononho) RECAPITULATIFS DES TOMES.

Je suis né dans une famille pauvre, et aide de personne. En effet mes parents se sont rencontrés dans des conditions que personne n'aurait aimé connaître. Ma mère dû se prostituée pour continuer à vivre, quant à mon père il essayait desespèremment de faire rire les brakmariens pour qu'ils aient pitié de lui et de son âme.

Vint alors ma naissanc innatendue. Je ne ressemblais pas à mon père, lui était iop, moi suis Sadida. Ma mère n'eût jamais le temps d'expliquer à mon père.

Un jour pluvieux, le jour de mes 10 ans, mes parents mourruent égorgés par la cavalerie bontarienne. C'est alors qu'une grande tristesse m'envahi. Une émotion mélancolique me subvint à l'esprit.
Vint la fin du massacre. Rushu n'en croyait pas ses yeux, il avait beau avoir comis tous les crimes du monde, il n'aurait jamais imaginé une boucherie de ce genre. Tous les survivants de la guerre Furent banni de Brâkmar et enfermé en Exil dans le labyrinthe du minotor.

Quant à moi. Je me fis adopté par un des meurtriers des brâkmariens, The-killor et sa femme Loryrose. Je m'apperçu en fait que The-killor était le frère de ma mère, mais qu'ils avaient tellement honte d'elle, que les bontariens l'ont envoyés en exil à brâkmar. C'était donc mon oncle. Loryrose, ma tante et mère adoptive, était très sympathique : elle aidait les gens dans le besoin, faisait des livraisons pour les boulangers, etc... Quant à The-killor, mon oncle et père adoptif, c'était un brave chevalier bontarien au mille et une victoires.

Je vis en eux, pour la première fois de ma vie, de la joie, de la sympathie. C'est alors que j'eûs décidé d'être Mercenaire : Chevalier-aideur.

Mes parents adoptifs n'y voyaient pas d'inconvenient, ils sont fier de moi.

10 ans passèrent. Mes parents se marièrent. Ils créerent une guilde et furent 'heureux pour toujours'. Moi, je n'avais pas encore trouvé de travail. Mes parents m'aidaient desespéremment.
C'est alors que j'avais entendu parlé d'un Mercenariat appelé 'Lame' qui ouvrait ses portes.J'ai donc posté ma candidature.

TOME II
La complainte du fils

Ainsi, je me fis recruter par les Lames danathoriennes, les fameux mercenaires Xil 'O fon, mon pays.

J'appris alors l'existence du frère de mon père adoptif, The-décapitor.Cette histoire aurait pû être racontée d'une fasson parciellement hironnique...Enfn..

Non loin de brakmâr, dans les Landes de Sidimote, vît un père et son fils vivants d'amour et d'eau frèche, d'impôts et de crédits bancaires. L'histoire commence chez le cher oncle de l'aventurier au milles et une défaite, nommé Leti-diable. Le nom de l'oncle ? The-décapitor. Nous en reparlerons. Puis son fils, fils que Leti-diable ne connait guerre; se nommant Lirix.
Puis un jour, ce cher Oliver Twist des temps modernes commença un journal intime :

JOUR I

Mon père est allé à la banque accompagné de mon Croum. Je ne le vis plus. La piscine qu'avait acheté mon père ce jour-là me laissa sceptique, et triste de ne plus avoir de compagnon.

JOUR II

C'est l'anniversaire du décès de ma mère. J'ai eu le droit de manger deux carreaux de chocolat noire sortant tout droit de notre gare-manger que nous avons inventé le jour de ma naissance.
Je lis dans le journal 'Une défaite qui risque de faire mâl au brakmariens, les bontariens veulent lancer une vague d'attaque surprise par les landes de Sidimotes.'. Je lis plus bas un nom qui fit son effet : Bobby. Bobby était mon croum. Vous me direz, il y a des tonnes de Bobby.Je tournai la page, et que vois-je ? Une photo de mon croum, machant du bauxite et chevauchant un tabi tipiquement Brâkmarien.

'Une défaite qui risque de faire mâl au brakmariens, les bontariens veulent lancer une vague d'attaque surprise par les landes de Sidimotes.' C'est la seule chose qui nous interesse. De plus, le croum du pauvre garçon finit mitrailler de bauxite qu'il fut en fait, obligé de manger. Déduction : Lirix n'avait pas confiance en son croum qui avait signé la charte d'honneur des Scouts des Landes de Sidimotes. La guerre arriva. la deuxième boucherie mondiale commença. The-killor, le légitime père de Leti-diable y participa. Lirix perdu son père, Hélas décapité par un Tabi Brâkmarien (Si voussuivez l'histoire, son père s'appelle The-décapitor, hironnie du sort.).
La haine se jeta sur Lirix puis prît l'emprise de son sort. Il fût enfermé à Bonta pour avoir envoyé des enfants kamikazes pour tenter de tuer Le roi de bonta, ainsi que le Roi Allister, qui fût le jour de la guerre une alliance bénéfique avec les bontariens.

Je vis alors le tant connu depuis 2 ans, Lirix décapitor.Son visage me surprît. Je voyais dans son visage tous les caractéristiques qui faisaient celui de mon père, The-killor. Un jour, à table, nous mangeâmes une cuisse de porkass bien rôtie acheté chez Dédé le bouché, quand tout-à-coup ma mère se leva de table et se mit a se disputer avec mon père. J'ai crû que la skisophrènie l'avait frappé. En fait je me rendis compte plus tad qu'elle avait honte que mon père avait tué son frère dont j'apprenais l'existence.J'en demendai plus sur cette histoire qui me rendit curieu à un point que j'aurais pu aller au fin fond du Nil en nageant avec les crocodailles pour trouver la solution à cette énigme mystérieuse. Mon père m'apprit l'existence de mon bien connu cousin qui n'était en fait que Lirix, le chef guerilla. Il m'apprit que c'est grâce à ma mère s'il est encore de ce monde, et qu'elle avait prié Le dieu Crâ pour donner raison au roi.

Vint le lendemain. Ma première mission de mercenaire : Aller drop 14 carapaces de scarafeuilles rouge pour un soit-disant féca de cercle de puissance 109. Il en fût ainsi. Malgrès la mission palpitante que je fis avec plaisir je ne puis m'empêcher de savoir que mon cousin était Céans*(1)
Dans ma prison que je fis construire avec l'argent de la tirelire à Event.

Je fus allé voir le Roi bontarien et lui priea, car j'étais propriétaire légitime, de me donner une séance avec le numéro 1 de la liste noire de Bonta. Accordé. j'y fus sans perdre de temps avec mon écuyer, je pris ma dragodinde, mis ma ceinture de sécurité, donnai du poisson à ma dragodinde est partis.

Je fus alors arrivé.Je parlais avec le numéro 1. Et ressortis avec comme quoi il était de famille avec mon père, qui était depuis 2 ans le bras droit légitime de Messire le Roi.

Un an plus tard, Lirix s'était calmé, partit tous les dimanches chasser le kanigrou avec Dédé le boucher, et utilisa ses poupées sacrifiées plutôt que des enfants kamikazes.


FIN DU TOME II

*(1) Céans : Ici même en ce moment.

TOME III

Dédé le boûcher (interdit au moin de 1 mois)

Dédé le boûcher, comme tout boûcher, savait saigner un porkass, le ficeller, abattre des vaches, etc... Mais qu'est-ce que le boûcher de Bonta appelé 'Dédé' et se nommant réellement Dorian édépée faisait-t-il pendant ses heures de repos ? Il taillait des capes. Un beau jour de guerre de territoires, Dédé devait avoir besoin d'aide.Il demandit alors à notre cher mercenaire aux milles et une défaites et à sa brave dragodinde ainsi que son cousin d'aller drop des cuisses de bouftou. Oliwer Twist reprit son journal :

JOUR MVIII

Du nouveau. Moi et mon cousin allons drop des cuisses de bouftou pour dédé car Tante loryrose a attrapé la myxomawose lors de sa dernière expédition sur l'île des wabbits. L'assistant d'Otomaï absent et prit en otage, notre maîtresse de foyer reste au lit.

JOUR MIX

Dédé nous a demandé d'aller acheter une coiffe du ploukosse. Il nous dît que l'on en trouverait chez le tristement célèbre Issering le bricoleur. C'est à l'autre bout du monde des douze. Nous nous y rendîmes en exactement 3 ans et 115 jours. Je laisse la plume à mon cousin qui veut conter notre réçit (voir tome IV)


Dédé essairait-il de se débarasser de la famille killor ? Ou essait-t-il de faire des cuisses bien rôties ? réponse maintenant.

Dédé se mit au club J.I des S.L.S (le Journal Intime des scouts des landes de sidimote) :

J-15 avant l'attaque des bontariens.Les tabis décapiteurs sont fin prêt. Le croum espion Bobby est aussi prêt. Je mets ma ceinture et repart à bonta.

Cordialement, Dédé vendeur de jambon de cocon de lait.


en effet il vendait des cochons de lait. Mais alors,il essaie bien de détruire le bras droit du roi ! Non,pas avec les cochons de lait stupide lecteur, avec les tabis et Bobby ! Nous reparlerons de Bobby prochainement.

Mais que se passe-t-il chez les killor ? Sachant que liri et leti-diable sont partis en pélérinage et que les bontariens ne se doutent de rien : ni de l'attaque, ni de Dédé, ni de Bobby !

FIN DU TOME III

TOME IV

Le voyage

Ainsi donc, pendant la guerre qui allait avoi lieu entre les bontariens et les brakmariens, nos deux aventuriers partirent chercher Une coiffe du ploukosse chez la famille tristement célèbre d'Issering le bricoleur (voir :Dofus : Le chevalier noir) récquisitionné par ses fils adoptifs et transformé en Q.G. des chevaliers du Mal, bien connu chez les S.L.S car ils sont tout 5 les directeurs.

_"Bon, dit leti-diable, d'après la carte on est tout prés des plaines de cania où se trouve le Q.G.

_Faudra qu'on aille à amakna entre temps, faut qu'on rencontre l'assistant d'Otomaï pour 'man.

_On verra ça plus tard, on prend la coiffe et on y va."

Ils arrivèrent dans le Q.G...

Un mystérieux personnage habillé de noir et portant un masque était assis devant le corps d'Issering. Il commença à faire brûler les chairs et grignoter les os. Je ne puis m'empêcher d'intervenir :

"_Hey, toi là-bas ! Disais-je, qu'est-ce que tu as fait à Issering ?!

_Cela ne se voit pas ? Fit l'homme, Je le tues puis je le mange, pardis !

_Et...Tu aimes faire ça ?

_A vrai dire c'est la première fois...Je trouve ça délicieux. Surtout après tout ce qu'il m'a fait subir ce cher papa.... Il a tué mon vrai père sous ordre du roi de Bonta...Je vois que tu es mercenaire à tes ailes petit. Que veux-tu ? me tuer ? Avec ton compagnon au slip de porkass noir ?

_Non, je veux une coiffe du ploukosse...Et c'est un slip de chafer lancier...

_Ha ! C'est la première fois qu'on me la fait celle là !"

Silence dans la salle pendant quelque minutes, puis Leti-diable reprit :

"_Tu veux qu'on règle ça en défi ?

_Tu oses nous défier ! Nous ! Les chevaliers du mal ?!

_Les chevaliers de Dédé, ouais...

_Dédé ? Hahaha ! Ce cher espion brâkmarien qui se fait passer pour un boûcher ?!



Leti-diable et Lirix furent sceptiques tout deux, criant que ce n'était pas vrai .

TU ES ENTRE EN COMBAT

Lirix se fit massacré à coup de katana volé au maître Erkaflip.
Puis, Leti-diable à son tour se fît gossièrement tué.

Je sentis comme une aura très sombre en lui...Je volai la coiffe, prit Bobby que nous avions retrouvé dans un tunnel à manger de la pierre et nous en allâmes.

C'est alors que Bobby, le Croum stupide et îvre à bouts de temps de lirix se mit a me sauter dessus, essayant desespéremment de me gober.Lirix ne comprit pas son comportement, le donna à la mama bwork de papa et on ne le vit plus.Resta encore Dédé,le boûcher de brâkmar ! Que moi et mon frère décidâmmes de pourchasser. Mais avant tout, il nous fallait du repos. Nous nous reposâmes dans une Auberge Non loin de l'île d'Otomaï. Mon cousin fourbe me fit signe et nous montâmes dans un vaisseau*(1) et larguâmes les amarres vers Otomaï.Nous marcheâmes et gravîmes mille et unes marches pour nfin arriver chez l'illustre Otomaï, lui demandant la potion contre la myxomawose, puis nous remarcheâmes et dégravîmes les mêmes mille et unes marches. Nous revîmes dans le bateu, relarguâmes les amarres mais cette fois si, vers bonta-Ouest.Nous arrivâmes chez nous, dans notre foyer alors désert...

FIN DU TOME IV

*(1) vaisseau : Bateau dans ce texte.